Dans son rapport intitulé "Transversalité ludique et mutualisation récréative : ou pourquoi les boutons c'est rigolo d'appuyer dessus", le Professeur Amédé Tetdampoule s'interroge sur les mécanismes d'abrutissement ludo-éducatifs et leurs incidences sur l'équilibre psychique.
Des test réalisés en laboratoire (d'abord sur des pétoncles arctiques apprivoisées puis sur l'être humain) ont mis en évidence chez l'homo sapiens un intérêt marqué pour les boutons de toutes formes et de toutes les couleurs.

Conclusion de l'étude : l'être humain aime appuyer sur les boutons, surtout si ça fait du bruit parce que c'est rigolo. Quod erat demonstrandum.

Merci Professeur Amédé Tetdampoule.

Communiqué sanitaire du Ministère Des Trucs Que C'est Bien Pour Ton Corps (MDTQCBPTC)

Le MDTQCBPTC tient à rappeler qu'à ce jour aucune étude n'a pu démontrer que la consommation régulière de gants de boxe couvrait 100% des besoins journaliers en vitamine C.
C'est la raison pour laquelle il est vivement recommandé de manger ses gants de boxe avec un grand verre de jus d'orange qui lui en revanche est bourré de vitamine C que c'est bon pour ton corps.

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Le Fanart du jour :

Merci à Dragon d'eau (notre très estimé Ministre des Affaires Sanitaires, Animales et Sociales ainsi que du Vermifugeage et de l’Épouillage) pour ce fanart qu'il est très astucieux et efficace ;-)
Le Bouffon de la République, après concertation avec lui-même, est très honoré de vous remettre, cher ministre de l'Epouillage et du Vermifugeage, le Cornichon d'Or du Décret Bancal et de l'Astuce Foireuse assorti d'un chèque en blanc de 20 milliards de Grumopèzes (discrètement prélevés sur le dos du contribuable grumeaulandais après déduction de bakchichs d'usage).

Communiqué du Ministre de l'Epouillage et du Vermifugeage

Chère Nath-ze bouffon de la république,

Devant ton dernier billet à tendance un chouilla-rien-de-moins-qu’épuisé-tendance-je-pourrai-pas-continuer-longtemps-je-suis-sur-les-rotules, le conseil des ministres de la république bananière s’est réuni en urgence à midi moins le quart et a cherché activement des solutions. Bien évidemment la plupart des ministres avaient faim et ont exigé une collation. Les autres les ont fait taire au nom de l’éthique et du dévouement à la république, mais ce non sans mal.

Après que la collation ait été dévorée par tous, les discussions ont pu commencer vers 18 heures (il a également fallu une sieste à certains ministres que nous ne citerons toujours pas et nous ne donnerons pas les noms mais nous les connaissons, de ceux qui ont dormi durant les cogitations.) Le concept qui a prévalu d’emblée était : il faut sauver le bouffon de la république avant qu’il ne perde sa bonne humeur naturelle, son sens du dessin, ne devienne sourd, fou ou dépressif sous l’effet du manque de sommeil et de l’assaut réitéré et sournois des décibels ronfelesques du Grumeau qui cache bien son jeu. La conséquence du dit concept était : comment éviter d’avoir à surveiller le grumeau jour et nuit ? Bien évidemment, les solutions les plus farfelues ont été proposées par des ministres peu sérieux que nous ne citerons pas mais dont la liste circule sous le manteau afin qu’ils puissent être révoqués d’urgence. Ont dont été tout de suite abandonnées les idées de scotch double face enturbannant la tête du grumeau depuis la plaie jusqu’au menton, pour des raisons fonctionnelles et de bien-être anim.... Grumeautesque, pardon. La coupe d’ongle est bien évidemment retenue, le bandage des mains a été envisagé puis repoussé pour les mêmes raisons qu’à l’alinéa précédent. Un ministre ayant suggéré d’attacher les mains du grumeau dans son dos a été prestement lynché par ses conciprioministres. La réalisation salissante de cette tâche a, nécessité l’intervention du médiateur (le ministre des affaires sanitaires, animales et sociales ainsi que du vermifugeage et de l’épouillage — votre serviteur en un mot) ainsi qu’une oxygénothérapie et un transfert du tapis de la salle de réunion, en urgence, à l’Hôpital Paspeurdutoutdesmédecins, dont le service d’urgence est opportunément placé à côté du funérarium. La pose d’un casque avec visière a été rejetée car trop simple. C’est finalement le ministre des affaires sanitaires, animales et sociales ainsi que du vermifugeage et de l’épouillage — votre serviteur en un mot qui a eu une idée pouvant humblement être qualifiée de génialissime : la confection d’un carcan de taille adaptée au grumeau. [Tu te souviens certainement, Bouffon de la république, que quand Chatbouboulette a été stérilisée et qu’elle a eu l’idée saugrenue de tirer sur ses fils, le vétérinaire lui avait mis un carcan. Tu vois le parallèle ?) Le dit carcan, de plastique transparent, de coupe élégamment évasée, permet au grumeau de voir où il va et d’éviter de se cogner. Sa solidité est adaptée au modèle grumeau4*4cassetout et on peut toujours espérer une connexion spontanée à TOPS ou à CannelleSatellite, ce qui permettrait au bouffon de se planter devant la télé pour regarder sa série préférée. Il se ferme aisément et se fixe sur le collier en cuir du grumeau ou bien avec un simple lien qu’il convient de serrer raisonnablement afin que le grumeau ne puisse l’enlever. Le juste degrés de serrage est obtenu lorsque, le teint délicatement rosé du Grumeau étant devenu bleuâtre, l’on desserre légèrement le lien. On dit merci qui ?

NB : le ministre affaires sanitaires, animales et sociales ainsi que du vermifugeage et de l’épouillage — votre serviteur en un mot propose en toute humilité sa décoration de la médaille d’or du mérite grumeaulandaise agraffe “opération spéciale” et de se voir remettre une prime spéciale de wouatmille grumeaupèze.

Signé : Dragon d'eau, Ministre du Vermifugeage et de l’Épouillage