De la torture par logorrhée verbale

 
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Passées les deux premières minutes durant lesquelles on tente, avec toute la bonne volonté dont on dispose, de rester concentré et de caresser l’utopique ambition de comprendre la diarrhée verbale qui déferle sur nos synapses telle une avalanche, on finit immanquablement par lâcher la corde et sombrer dans un morne purgatoire où l’on n’a d’autre choix que d’attendre patiemment que la torture cesse.

D’ailleurs, à ce propos, il me revient en tête un passage du “Petit traité de phénoménologie post-structuraliste expliquée à mon hamster constipé” du philosophe Ludwig Von Hanouna : “Coin, coincoincoin, coin coincoin coincoincoin coin-coin coin !”.