Lorsque sonne enfin le clairon impérieux de l'appel à l'instruction institutionnelle, on voit fleurir aux abords des établissements scolaires des génitrices orphelines qui, le chignon tourmenté et fébrile, tètent avec anxiété les baies vitrées de l'Éducation nationale en tentant de juguler le schisme affectif qui leur étreint le cœur.
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Bon, en gros, je me suis lamentablement emplâtré l'angoisse de séparation dans les fenêtres de l'école et je suis donc en mesure d'affirmer qu'elles sont solides et bien posées. Du travail soigné. Bravo.