Certains d'entre-toi ont réagi à ma dernière note (celle-ci pour rappel), en me demandant pourquoi je n'éteignais pas ce satané grumeau-phone histoire de gagner enfin sommeil et tranquillité nocturne.
A quoi je réponds que ce n'est tout bonnement pas envisageable dans la mesure où le grumeau-phone c'est mon doudou. Le truc un peu pourri que je traine partout et qui sait calmer mes angoisses maternelles.
Mais promis, je ferai un effort. Dans 25 ans, le jour où Sa Sérénissime Grumeauté viendra dormir à la maison avec son mari, par discrétion (on est pas des sauvages non plus), je baisserai le volume à 2.