Cher concipriote, Tata Fernande, Antoine ma limace apprivoisée,
En ce jour béni de ma chaussette où ma main droite travaille d'arrache pied (oui, je sais, la métaphore est foireuse) afin de livrer à la postérité universelle un album cosmoplanétaire avec des pages en papier dedans, pas de gribouille ici aujourd'hui.
Mais, petits veinards que vous êtes, tout de même (qu'est-ce qu'on vous gâte), un bilan anatomo-pathologique de ma phalange annulaire droite :
Après avoir frôlé la sciatique du nerf carpien par overdose de tablette graphique, Geneviève ma phalange se la coule douce pendant que Baudouin mon pouce et Foulques mon index s'assoient sur leurs RTT et triment comme des damnés afin de compenser le sous-effectif.
Et puisqu'on en est à parler de mains, il est certaines pognes prodigieuses qui forcent le respect. Moi ça par exemple, ça m'en bouche un coin de phalange...