Réseaux sociaux, poil au dos




Depuis quelques jours, tu l'auras peut-être remarqué le Ninternaute, le Grumeau a son Fankleub sur Facebook.
Au passage, merci à Sylvie qui a créé le groupe et à tous ceux d'entre toi le Ninternaute qui a eu la gentillesse de t'inscrire et de me mettre des petits mots d'amour qui sont comme des gazouillis de douceur et de tendresse à mon petit cœur chamallow. Que Brahma et ma tong te bénissent les orteils et répandent sur ton chemin paix, amour, volupté et endives à l'huile.

C'est donc bardée d'ignorance crasse sur le sujet que, tel le cro-magnon de base devant un épluche-carottes, je découvre l'univers obscur de Facebook dont, je l'avoue humblement le fonctionnement et l'utilité parfois ésotériques m'échappent comme un petit pois courant sur une toile cirée.
Mais il ne sera pas dit que j'aurai laissé passer le train de la modernité et de la super branchitude. C'est donc équipée de mon cartable et d'un login tout neuf que me voilà partie pimpante et joyeuse sur les chemin du savoir et de la cyber-culture.

Et que constaté-je au détour d'une connexion ? Que Facebook, en plus de m'équiper de cyber-amis super sympathiques (bon, soyons honnêtes, je n'en connais pas le tiers de la moitié du quart, mais ça n'empêche qu'ils sont super sympas quand-même) me permet de savoir en direct si ma copine Radada Mangedécroûtes a enfilé son Tampax à l'envers ou si elle a rejoint le groupe des "Collectionneurs de pétoncle à bosses malaisiennes".

Et là moi je dis : c'est fort, c'est marveulouze, on arrête pas le progrès !