Aujourd'hui nous entamons, internaute chéri, une nouvelle série dédiée à la Pré-Grumeautique ou ce qu'il est plus communément d'usage d'appeler la Grossesse.
Alors que tu sois nullipare, primipare, multipare ou encore mieux, si tu as la grange pleine et le ventre relevé en bosse, je t'engage vivement à suivre très attentivement cette série éminemment instructive sur la grande et merveilleuse aventure pré-grumeautique. Une saga de référence extrêmement bien documentée qui a vocation de t'informer de façon très pointue et scientifique sur le quotidien et les mœurs parfois exotiques ou saugrenues de la femme grumogestative.
Nous abordons aujourd'hui, pour ce premier épisode, la pré-grumeautique d'un point de vue purement esthétique. La grumeaugestation ayant la particularité de transformer le corps en véritable champignonnière hormonale, tu pourras constater que la future Maman-Grumeau a le nichon voluptueux et le bonnet 105 D fillette épanoui.
Et là, j'en entends déjà un ou deux d'entre-toi au fond de la classe qui fait du mauvais esprit en chuchotant "Et alors, on s'en fout". Hé ben non ! Précisément on s'en fout pas parce que mine de rien, pour celles qui avaient jusque là le néné atrophié façon œuf-de-caille-en-omelette-norvégienne et le moral en berne, c'est un événement de tout premier ordre que cette subite effervescence nichonesque. Et lorsque tu sais à quel point une femme enceinte peut transformer ta vie en enfer pour peu qu'elle soit mal lunée, tu comprends également à quel point c'est une bonne chose pour le futur Papa-Grumeau qu'elle se réjouisse d'avoir la mamelle dodue (et accessoirement, le Papa-Grumeau qui est souvent un gros pervers s'en réjouit aussi).
Toutefois, il existe des exceptions à la règle et certaines femmes ont l'insigne particularité d'avoir la glande mammaire extrêmement exubérante indépendamment de toute poussée hormonale gestative. J'en veux pour preuve ces surprenants ballets de nichons ici et là.
Alors que tu sois nullipare, primipare, multipare ou encore mieux, si tu as la grange pleine et le ventre relevé en bosse, je t'engage vivement à suivre très attentivement cette série éminemment instructive sur la grande et merveilleuse aventure pré-grumeautique. Une saga de référence extrêmement bien documentée qui a vocation de t'informer de façon très pointue et scientifique sur le quotidien et les mœurs parfois exotiques ou saugrenues de la femme grumogestative.
Nous abordons aujourd'hui, pour ce premier épisode, la pré-grumeautique d'un point de vue purement esthétique. La grumeaugestation ayant la particularité de transformer le corps en véritable champignonnière hormonale, tu pourras constater que la future Maman-Grumeau a le nichon voluptueux et le bonnet 105 D fillette épanoui.
Et là, j'en entends déjà un ou deux d'entre-toi au fond de la classe qui fait du mauvais esprit en chuchotant "Et alors, on s'en fout". Hé ben non ! Précisément on s'en fout pas parce que mine de rien, pour celles qui avaient jusque là le néné atrophié façon œuf-de-caille-en-omelette-norvégienne et le moral en berne, c'est un événement de tout premier ordre que cette subite effervescence nichonesque. Et lorsque tu sais à quel point une femme enceinte peut transformer ta vie en enfer pour peu qu'elle soit mal lunée, tu comprends également à quel point c'est une bonne chose pour le futur Papa-Grumeau qu'elle se réjouisse d'avoir la mamelle dodue (et accessoirement, le Papa-Grumeau qui est souvent un gros pervers s'en réjouit aussi).
Toutefois, il existe des exceptions à la règle et certaines femmes ont l'insigne particularité d'avoir la glande mammaire extrêmement exubérante indépendamment de toute poussée hormonale gestative. J'en veux pour preuve ces surprenants ballets de nichons ici et là.