Je souhaite ici rendre un chaleureux hommage à la créativité sans borne des ingénieurs fécophiles ès bébé-popo qui n'ont de cesse de rendre "l'instant défécation" de nos moutards le plus ludique et le plus motivant possible.
Ayant moi-même un Grumeau pratiquant encore la couche mais arrivant à grandes enjambées de 4 pattes vers l'autonomie sphinctérienne (du moins avant ses 18 ans, je le lui souhaite), j'ai décidé par un beau jour de fièvre acheteuse de traîner mes grolles du côté du rayon popo chez mon gazin-dealer d'articles de puériculture préféré.
Après avoir fait les circonvolutions orbitales d'usage par les rayons divers et variés qui n'avaient rien, mais alors rien à voir avec le but initial de ma visite, j'ai fini par atterrir dans le coin-hygiène-sos-bébé-kraspèk.
Et c'est ainsi que j'ai constaté à quel point on s'ingéniait à te culpabiliser, toi, misérable vermine de parent qui n'a d'autre ambition dans la vie que d'acheter un bac-à-popo tout simple, fonctionnel, sans fioritures, un truc en plastique moulé tout bête juste bon à recueillir le produit des tribulations post-digestives de ton nain préféré.
Car à côté de l'unique popo modèle spartiate en fin de vie (genre la Dodoche du popo), se bouscule une nuée de bacs-à-crottes tous plus clinquants-bling-bling hyper sophistiqués les uns que les autres et aux couleurs tellement chatoyantes que ça t'en esbaudit les mirettes.
Y'a pas à dire, les ingénieurs à popo se sont ingéniés. Tout y passe, tout y est de série : le GPS, le repose-tête, les accoudoirs, l'écran-plasma, lecteur de CD, H-P dolby surround pour écouter le coin-coin qui danse et qui chante pendant que bébé commet sa crotte, etc...
Si j'osais, je me permettrais tout de même une petite réflexion :
Et le PQ dans tout ça ?
Ayant moi-même un Grumeau pratiquant encore la couche mais arrivant à grandes enjambées de 4 pattes vers l'autonomie sphinctérienne (du moins avant ses 18 ans, je le lui souhaite), j'ai décidé par un beau jour de fièvre acheteuse de traîner mes grolles du côté du rayon popo chez mon gazin-dealer d'articles de puériculture préféré.
Après avoir fait les circonvolutions orbitales d'usage par les rayons divers et variés qui n'avaient rien, mais alors rien à voir avec le but initial de ma visite, j'ai fini par atterrir dans le coin-hygiène-sos-bébé-kraspèk.
Et c'est ainsi que j'ai constaté à quel point on s'ingéniait à te culpabiliser, toi, misérable vermine de parent qui n'a d'autre ambition dans la vie que d'acheter un bac-à-popo tout simple, fonctionnel, sans fioritures, un truc en plastique moulé tout bête juste bon à recueillir le produit des tribulations post-digestives de ton nain préféré.
Car à côté de l'unique popo modèle spartiate en fin de vie (genre la Dodoche du popo), se bouscule une nuée de bacs-à-crottes tous plus clinquants-bling-bling hyper sophistiqués les uns que les autres et aux couleurs tellement chatoyantes que ça t'en esbaudit les mirettes.
Y'a pas à dire, les ingénieurs à popo se sont ingéniés. Tout y passe, tout y est de série : le GPS, le repose-tête, les accoudoirs, l'écran-plasma, lecteur de CD, H-P dolby surround pour écouter le coin-coin qui danse et qui chante pendant que bébé commet sa crotte, etc...
Si j'osais, je me permettrais tout de même une petite réflexion :
Et le PQ dans tout ça ?