Parfumista-mais-presque

 
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Sa Sérénissime Muflerie étant amateur de goûtu fromage bien coulant, il sera de bon ton de considérer cette curieuse comparaison olfactive comme un aimable compliment venant du fond du cœur.

Mais quand-même, j’aurais préféré sentir le bouquet de jasmin enchanteur porté par la douce brise d’un coucher de soleil estival sur l’atoll de Thionville.




Sanctuaire

 
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Et c’est ainsi que le petit coin se transforma en temple consacré et inexpugnable du télétravail et de l’esquive domestique.




De l'indigence dans l'invective

 
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Suite à une grande enquête au petit doigt mouillé réalisée par le Ministère de l’Éducation à Bretelles Grumeaulandais, les conclusions sont formelles : on constate une nette et préoccupante paupérisation du vocabulaire en matière d’insultes dans les établissements scolaires du Grumeauland. D’après nos estimations, un élève de primaire dispose en moyenne d’un registre de 2,5 insultes avec un index créatif relativement modeste.
La moyenne, augmente nettement au collège avec 4,8 insultes par collégien montrant un frémissement de créativité sur les rimes en “ule” et plafonne péniblement à 4,9 dans l’hémicycle et sur les plateaux télé (sauf si tu es chroniqueur sur C9, auquel cas tu te hisses laborieusement jusqu’à une moyenne de 1, mais il faut persévérer, c’est un bon début).




Le panégyrique pour les nuls

 
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Oui, parce que Furax est au compliment courtois ce qu’un quarterback sous amphétamines est à l’art délicat de la peinture à l’aiguille.

Et dans la mesure où le concept de regard spongieux m’échappe, ne me demandez pas de vous le définir.
Car afin de préserver un semblant d’illusion sur la valeur élogieuse de cette obscure allégorie, j’ai préféré ne pas demander à Sa Sérénissime Flatterie de m’en détailler précisément la signification. On a sa fierté merde !