De la constance dans l'immuabilité



Pour ceux qui souhaitent une séance de rappel, voir les notes de blog ici et .




Effectivement, en 2011, ton Bouffon a gagné en sagesse et en sagacité.
Il a tiré les leçons de son expérience passée et il a pris conscience qu'il n'était pas bon de fuir la réalité et ses responsabilités parentales...
Ou du moins si...
Mais que c'était plus agréable de le faire dans le confort douillet d'un climat tropical parce que mine de rien, la banquise pour se cacher c'est bien mais quand-même ça pèle sa mère.

Motivée...









Ohlalalala !
Pfffff ! Mille pardons pour cette reprise bananière tardive.
Figurez-vous que j'ai d'excellentes excuses.
J'étais tout simplement occupée à me regarder pousser les ongles des orteils au bord de la piscine débordée de travail.
Entre les soirées barbecue réunions, les siestes-marathon les rendez-vous professionnels, les mots-fléchés sur chaise-longue bouclages BD, etc... j'étais terriblement trop débordée.

Ahem... (sifflote, sifflote, sifflote...)...

Il est temps de ne rien faire

Communiqué indolent du Ministère des Tongs et des Petits Pâtés de Sable

Chers concipriotes, chères compatoyennes, Alphonso ma bouée qui fait coin-coin,

Après avoir besogneusement consacré son année à cultiver des enclumes de dur labeur, ton Bouffon enfile ses plus belles tongs de plage et se met à l'heure d'été pour s'adonner aux joies du planté de cul d'oursins entre les orteils.
On se retrouve donc en dessins, frais, reposés et les plantes des pieds toutes bronzées en septembre.
D'ici-là, paix, amour et endives à l'eau.