Oui, parfois, lorsque mes tympans malmenés finissent par rendre l'âme au détour d'une symphonie de hurlements grumesque, je m'invente un monde imaginaire où tout est silence, calme et volupté. Et pour ça, fantasmant à plein régime, j'expatrie manu militari le Grumeau et ses cordes vocales mutantes sur Saturne.
Bien évidemment, le saturnien étant un être pernicieux et éminemment ombrageux il ne tolère aucune forme de Grumeau (même le modèle silencieux).
La prochaine fois, j'enverrai le Grumeau sur Neptune...
Oui, bon, j'en vois quelques-uns d'entre-toi internaute qui ricane devant l'anatomie approximative de mon saturnien à trois pattes. En même temps, tu n'en as jamais vu des saturniens (du moins je te le souhaite). Alors bon, hein... Poupougne...